Citadelle m’a fait passer un article de la presse écrite quotidienne qui avait été écrit en mai 2006.
Je vous le résume parce que pour la fois où comme nous vous allez frapper à la porte d’un éditeur ….vous pourriez avoir des surprises.
Bon moi je suis une vachette
donc qu’un éloigné de la terre me prenne pour un mouton à tondre mais vous …tseu tseu….
Aies confiance
…oui… à la manière du livre de la jungle hein !
Une action en justice avait été menée par le Syndicat national des auteurs et des compositeurs et par la Société des Gens de Lettres contre la maison d’édition l’Harmattan. Les plaignants dénonçaient la non conformité des contrats proposés à certains auteurs. La Cour d’Appel de Paris a condamné la maison d’édition en cause à payer une somme d’argent et a décidé l’insertion du jugement dans un journal ( Le Monde Diplomatique de mai 2006 a ainsi procédé à la parution ).
Les plaignants avaient soulevé des clauses illicites : gratuité des droits de reproduction, absence du nombre d’exemplaires du premier tirage, cession distincte des droits d’adaptation audiovisuelle…
On retiendra donc comme leçon que de contractualiser avec un grand nom de l’édition peut ne pas être une garantie de protection .
Il faut donc toujours rester vigilant à la lecture de ce qui nous est proposé comme contractualisation…On a attendu pour affiner notre ouvrage…on peut bien attendre de se donner la réflexion de lire et comprendre ce qu’on nous propose avant de signer.
On peut se demander par ailleurs, vu le nombre d’ouvrages, périodiques et autres publications , sans compter les fusions de groupes, qui est proposé par une maison mère…comment pouvoir exister dans la valse des productions lorsque l’on n’est qu’un débutant accepté par un major ?
Mais bon euh si le contrat est nickel moi je dis aux marguerites de signer hein ! MEUUUUUHHHHHH oui !